LOSC – OL : Lille de la confirmation

AVANT-MATCH. Quatre jours après un match réussi contre Manchester City, l’OL se déplace à Lille (ce samedi à 17h00, en direct sur Canal+) avec l’intention de confirmer les belles choses vues dans le jeu mardi.

Enjeu. Si l’OL était toujours invaincu depuis le passage à la défense à trois, il tient enfin son match référence dans ce système. Mardi contre Manchester City, les Lyonnais ont en effet fait douter, et même bien plus que ça, l’un des prétendants au sacre européen. Pas de quoi toutefois lever encore tous les doutes entourant l’équipe, qui a pris l’habitude d’alterner rencontres énormes contre les gros et prestations insignifiantes contre le tout-venant. Reste à savoir à quelle catégorie appartient le LOSC, actuellement 4e de Ligue 1 mais dont le style forcera l’OL à faire le jeu. C’est en général à ce moment-là que les choses se compliquent.

La défense à trois toujours
en phase de test(s)

Compo. Alors, du turnover ou pas ?

L’équipe-type du moment semble désormais connue (jusqu’à la première défaite avec la défense à trois ?), mais la période semble propice au turnover. L’OL jouera en effet encore 7 matchs jusqu’au 22 décembre, un tous les trois ou quatre jours.

Morel, Tousart, Dembélé, Terrier et tous les oubliés en chasubles jaunes devraient donc avoir leur chance à un moment ou à un autre. Ce sera peut-être à un autre moment, puisqu’on devrait revoir ce samedi une équipe très proche de celle de mardi dernier. Même s’il y aura forcément au moins un changement, Rafael étant suspendu.

La composition probable : Lopes – Denayer, Marcelo, Marçal – Tete, Aouar, Ndombele, Mendy – Fekir – Cornet, Memphis.

Voici le groupe convoqué par Christophe Galtier à l’occasion de #LOSCOL (samedi, 17h)pic.twitter.com/ucFb1OTxWH

— LOSC (@losclive) 30 novembre 2018

Le prono de la rédac. On avait pronostiqué une victoire avant le match contre Manchester City et on avoue être plus terrifiés par la vitesse de la « Bip-Bip » que par la possession de balle de Guardiola. Allez, on n’annonce pas une défaite (par superstition et parce qu’on n’a pas envie d’être responsables en cas de but adverse dans les dernières minutes) mais un 0-0. Après tout l’OL n’en a pas connu depuis plus d’un an (c’était lors de la 13e journée de la dernière saison de Ligue 1 le 19 novembre 2017, contre Montpellier évidemment) et l’on n’a donc jamais été aussi proche d’en revoir un. Logique shadok.

Hugo Hélin

(Photo UEFA)

Articles liés

• 
  Le Jurynho d’OL-Lens (2-1) : y’a cher kif
• 
  Le Jurynho d’OL-Brest (0-0) : jeunes et Juni
• 
  Nîmes – OL (2-3) : merci Maxwel et au revoir Bruno !