« Sans Fares », la chanson de Bahlouli

On peut vivre sans richesse, presque sans le sou

Avec des budgets en baisse, presque moins que le LOU

Mais vivre sans Fares, on ne le pourrait pas

Non non non non, on ne le pourrait pas

 

On peut vivre sans la gloire, qui ne prouve rien

Même perdre à Geoffroy-Guichard, à Saint-Symphorien

Mais vivre sans Fares, il n’en est pas question

Non non non non, il n’en est pas question

 

Quelle douce faiblesse, quel joli sentiment

De voir le beau Fares, avancer en dribblant

Vraiment, vraiment, vraiment

 

Le chagrin est nécessaire, et s’il faut pleurer

La belle époque d’hier, hé bien, on s’y fait

Mais vivre sans Fares, le temps vous paraît long

Long long long long, le temps vous paraît long

 

Dans le feu de la jeunesse, naissent les plaisirs

Lacazette et ses prouesses, aidé par Fekir

Ces deux-là et Fares, ils vont nous faire du bien

Bien bien bien bien, ils vont nous faire du bien

 

Quand la vie impitoyable vous tombe dessus

Que tous les joueurs notables, bien vite sont vendus

Alors sans notre Fares, et ses beaux lendemains

Non non non non, on n’irait pas plus loin

 

Un joueur qu’il efface, un dribble merveilleux

Et l’espoir fugace, on a les larmes aux yeux

Mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu

 

Dans votre immense sagesse, immense ferveur

Faites donc du beau Fares, un génial meneur

Provoquant l’allégresse, dans Lyon et alentours

Gloire et amour, jusqu’à la fin des jours.

Paroles et chant Nicolas Sch d’après « La tendresse », interprétée par Bourvil.


Clip Jean Fion

La réaction de Fares Bahlouli sur OLTV

(Source : Culture Club OL du 30 décembre 2014)

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